PROGRAMME DES ACTIVITES A VENIR
« Promenade santé »
Mardi 19 août 2025 à 14h30
(partie de la promenade verte de Bruxelles)


Ce 19 août 2025, nous convions nos membres à une promenade pédestre, paisible et reposante, qui nous mènera, sur un parcours de 2 km, du parc Ten Reuken aux étangs d’Auderghem.
Ce joli parc paysager, doté d’un bel étang et d’arbres intéressants, participe à la reconstitution écologique de la vallée et au maillage vert et bleu de la Région de Bruxelles-Capitale.
Projet du roi Leopold II, il a été créé au début du 20e siècle lors du percement du boulevard du Souverain. Deux chemins sinueux longent chacun une rive de l'étang, et de courtes sentes parcourent les pelouses plantées de bosquets d'arbres forestiers. La Woluwe traverse le parc et alimente l’étang. Une petite île boisée à l’extrémité sud sert de refuge à la faune locale. Cascade artificielle, rocailles imitant les éléments végétaux ou minéraux font partie du décor.
Tervuren
Mardi 16 septembre 2025

Notre promenade de septembre à Tervuren sortira quelque peu du cadre traditionnel. Nos pas se dirigeront vers le « village » de Tervueren, et plus particulièrement vers l’Eglise Saint Jean l’Evangéliste.
L’histoire de Tervuren remonte à 1227 lorsqu’Henri Ier, duc de Brabant, donna le patronage de cette église à l’abbaye de Parc. Au XIIIe siècle, le pouvoir ducal est beaucoup plus étendu qu’au siècle précédent, ce qui se traduit par une participation au gouvernement d’une part plus large de la noblesse.
L’église
Entre 1200 et 1225, Henri I, duc de Brabant, fit ériger une petite église dans la cour de son château.
Avec le temps, les maîtres d’oeuvre ont intégré magistralement l’ancien et le nouveau, le roman et le gothique pour former un bel ensemble architectural.
Au 18e siècle, des adaptations rococo ont été faites à l’église.
L’église possède un très beau mobilier gothique, superbe et incontournable : le jubé dont les trois arcs sont décorés de dix tableaux bibliques.
Les sept Congolais
Ekia, Gemba, Kitukwa, Mpela, Zao, Samba et Mbange sont sept Congolais morts en juillet et août 1897 à Tervuren. Ils faisaient partie des 267 Congolais exhibés dans les zoos humains du parc de Tervuren. Nous pouvons encore voir leurs tombes sur le côté de l'église.

Tom Frantzen
Outre l’église Saint Jean l’Evangéliste, nous aurons l’occasion d’admirer quelques oeuvres d’un artiste du cru : Tom Frantzen. Artiste belge bien connu, on trouve ses sculptures aussi bien à Bruxelles (le Zinneke, Jacques Brel, madame Chapeau…) qu’un peu partout en Belgique et … jusqu’au Japon.
Son jardin de sculptures (les sentiers du Wayenberg) est un monde surréaliste et satirique, situé à Duisburg non loin de Tervuren Des visites guidées sont organisées par l’artiste, j’espère que nous pourrons y aller un jour, cela vaut vraiment le détour !



L’Ecole de Tervueren
Mais nous ne pouvons quitter Tervuren sans parler de son mouvement artistique fondé vers 1866 par le peintre Hippolyte Boulenger : l’Ecole de Tervueren, appelée de ce nom parce que ses membres se réunissaient régulièrement dans l’auberge In de Vos sur la place du marché de Tervuren.
Elle privilégiait un art réaliste, inspiré par la nature, opposé à l’art académique et classique, proche de l’école de Barbizon.
L’école de Tervueren (tout comme celle de Calmpthout) a exercé une influence notable sur les Flamands de l’école du gris, qui affectionnaient les effets de pluie, de brouillard et les formes diluées et noyées … pas très étonnant dans notre petit pays !
Le musée privé Het Schaakbord (l’Echiquier)contient une collection permanente d’une quarantaine d’oeuvres de l’Ecole de Tervueren.
Hippolyte Boulenger (1837-1874)


Alphonse Asselbergs (1839-1916)




Gand
Mardi 30 septembre 2025
GAND ( Gent)
Ce 30 septembre, Vivre-Heureux visitera notre belle ville de Gand. Ne perdons pas de temps, il y a tant de choses à voir !
Les trois tours
L’horizon de Gand est dominé par trois tours bien connues : l’église Saint-Nicolas, le Beffroi et la Cathédrale Saint-Bavon. Il est même possible d’admirer les trois en même temps depuis le pont Sint-Michielsbrug.

Le Beffroi
Le beffroi définit la ligne d'horizon de Gand. Depuis le Moyen Âge, la tour est le symbole de la prospérité et de l'indépendance de la ville. Depuis la flèche, un dragon enflammé surveille le centre historique de la ville.

L’ Eglise Saint Nicolas

L'église Saint-Nicolas est un des plus anciens et des plus imposants édifices de la ville de Gand en Belgique.
Au 10e siècle déjà, l’implantation commerciale florissante de Gand s’étendait de l’Escaut à la Lys..
Dès sa fondation, l’Église Saint-Nicolas est l’église des marchands et des commerçants actifs sur le Korenmarkt tout proche
Aujourd’hui, elle est à la fois utilisée à des fins liturgiques et de prière et comme espace pour des initiatives privées.
l’Hôtel de Ville
Schizophrène et flamboyant, voilà les traits caractéristiques les plus frappants de l’Hôtel de Ville de Gand, âgé de 600 ans. En effet, il comprend deux ailes totalement différentes.

le Château des Comtes (Gravensteen)
Le château des Comtes est l'unique vestige d'une forteresse médiévale en Flandres qui fut prison, caserne, palais de justice et même usine de textile.

la cathédrale Saint Bavon
Dès 942, une petite église dédiée à Jean-Baptiste y aurait été érigée. Au milieu du 12e siècle, une église romane y fut construite, dont on trouve encore des traces dans la crypte ornée de peintures murales. C’est aux 15e et 16e siècles que fut construite l'église gothique telle que nous la connaissons aujourd'hui. En 1559, l'église devint cathédrale avec la création du diocèse de Gand.
L’Adoration de l’Agneau mystique des frères Van Eyck ne sera pas exposée dans la cathédrale Saint-Bavon de Gand en 2026 comme prévu mais au printemps 2027, a annoncé jeudi le Musée des Beaux-Arts de Gand où la restauration de l’oeuvre est en cours.


Cathédrale Saint-Michel
Jeudi 16 octobre 2025

Ses origines sont obscures, mais chacun s’accorde à reconnaître la création d’un chapitre de chanoines vers 1047, grâce à une fondation princière.
L’église n’a reçu son titre de cathédrale qu’en 1961, lors de la naissance de l’archevêché de Malines-Bruxelles.
Sous l’édifice actuel a été découverte une église plus ancienne, d’assez grande dimension, ainsi qu’une crypte, ce qui rend vraisemblable la liaison entre cet édifice et le culte des reliques de sainte Gudule.
Dès 1255, à l’instigation du duc Henri Ier de Brabant, une nouvelle collégiale, gothique cette fois, est édifiée. C’est vers 1475 que la collégiale peut être considérée comme terminée.
La collégiale constitue une véritable encyclopédie des formes architecturales gothiques brabançonnes, sa construction s’étant étalée sur deux siècles et demi.
Parmi les maîtres d’oeuvre, actifs tout au long de l’édification de la cathédrale, il faut citer Jacques van Thienen, Henri Cooman et Jean Van Ruysbroeck.
Le premier et le troisième sont aussi connus pour être intervenus sur le chantier de l’Hôtel de Ville, le second pour son travail à la collégiale d’Anderlecht.
La cathédrale a connu une succession de restaurations depuis 1800. La dernière en date a débuté en 1981. C’est dans le cadre de ces travaux que la crypte a été découverte.
Cette « vieille dame » fait partie des monuments les plus emblématiques de la ville de Bruxelles.

Saint Michel ? Sainte Gudule ? Ou les 2 ?

La polémique à la Cathédrale Saints-Michel-et-Gudule de Bruxelles porte sur le nom de la cathédrale et l'utilisation de "Sainte-Gudule" ou "Saint-Michel". Bien que la cathédrale soit dédiée aux deux saints, la population bruxelloise a longtemps préféré l'appellation "Sainte-Gudule. Cette préférence a conduit à l'appellation actuelle, "Cathédrale Saints-Michel-et-Gudule", reconnaissant les deux saints patrons de Bruxelles.
Et pour terminer …ce qu’en pense Victor Hugo …
Lettre de Victor Hugo à sa soeur – le 17 août 1837
Chère amie, je suis tout ébloui de Bruxelles, ou pour mieux dire, de deux choses que j'ai vues à Bruxelles: l'Hôtel de ville avec sa place, et Sainte-Gudule. Les vitraux de Sainte-Gudule sont d'une façon presque inconnue en France, de vraies peintures, de vrais tableaux sur verre d'un style merveilleux. La chaire en bois sculpté de Henry Verbruggen qui est dans l'église date de 1699. C'est la création tout entière, c'est toute la philosophie, c'est toute la poésie figurées par un arbre énorme qui porte dans ses rameaux une chaire, dans ses feuillages tout un monde d'oiseaux et d'animaux, à sa base Adam et Eve chassés par l'ange triste et suivis par la mort joyeuse et séparés par la queue du serpent, à son sommet la croix, la Vérité, l'enfant Jésus et sous le pied de l'enfant la tête du serpent écrasée. Tout ce poème est sculpté et ciselé à plein chêne de la manière la plus forte, la plus tendre. Quand je suis entré dans Sainte-Gudule, il était trois heures. On célébrait l'office de la Vierge. Une madone couverte de pierreries et vêtue d'une longue robe de dentelle d'Angleterre étincelait sous un dais d'or au milieu de la nef à travers une lumineuse fumée d'encens qui se déchirait autour d'elle. Beaucoup de peuple priait immobile à genoux sur le pavé sombre, et au-dessus un large rayon de soleil faisait remuer l'ombre et la clarté sur plusieurs grandes statues d'une fière tournure adossées aux colonnes. Les fidèles semblaient de pierre, les statues semblaient vivre. L'ensemble est prodigieusement rococo et prodigieusement beau. J'ai tout admiré comme un provincial de Paris que je suis, et je bois de la bière comme un flamand.

KBR : Manuscrits Bourguignons
Mardi 4 novembre 2025

La chapelle de Nassau, de son vrai nom chapelle van Duvoorde (en mémoire de son fondateur, Guillaume van Duvoorde, important financier du XIVe siècle, et dédiée à saint Georges) se situe au coeur de la Bibliothèque royale.
Ce lieu unique est le point de départ d'un captivant parcours qui entraîne les visiteurs à la découverte de la riche culture bourguignonne et habsbourgeoise.
Le musée de la Bibliothèque s'articule en effet autour de l'exceptionnelle collection de manuscrits des ducs de Bourgogne, qui dressent un tableau vivant et complexe de la période de transition entre le Moyen Âge et l'époque moderne.
On y découvre la vie artistique, religieuse, politique et littéraire du Siècle d’or.
Cela fait plus de 600 ans que la Bibliothèque royale conserve la célèbre Librairie des ducs de Bourgogne.
A la mort de Charles le Téméraire, en 1477, elle renfermait un millier de manuscrits et était ainsi l'une des plus importantes d'Europe, aux côtés de celles des rois de France, des Médicis et du Pape.
Aujourd'hui, il ne reste plus que 400 de ces manuscrits environ dans le monde, dont 275 se trouvent au KBR Museum.
La chapelle, dénuée de vitraux, échappa de peu à la destruction, dans les années 1950 lors de la construction de la nouvelle bibliothèque royale, mais fut finalement insérée dan les bâtiments nouvellement construits.
La chapelle a connu diverses affectations au fil des siècles (dont celle d’entrepôt de brasserie…) depuis l’inauguration du KBR museum, elle sert de salle d’exposition de la Bibliothèque royale. Véritable reflet de son temps, la bibliothèque couvre tous les domaines de l'érudition de l’époque. Les manuscrits, qui renferment des textes essentiels de la littérature médiévale, ont été enluminés par les plus grands miniaturistes du 15e siècle, dont certains ont connu une renommée comparable à celle du peintre Jan Van Eyck.
Le noyau initial de la collection de manuscrits conservée à KBR est constitué par une partie importante de l’ancienne Librairie des ducs de Bourgogne. Cette bibliothèque est considérée, à juste titre, depuis l’époque médiévale comme l’une des plus prestigieuses du monde occidental.

La Librairie des ducs de Bourgogne
La collection de manuscrits remonte à Philippe le Hardi et à ses héritiers, Jean sans Peur et Philippe le Bon.
En 1477, à la mort de Charles le Téméraire, elle compte pas moins de 950 volumes. Près de 270 de ces ouvrages sont encore conservés actuellement à KBR.
Bibliothèque royale des Pays-Bas
La Librairie de Bourgogne passe ensuite, par héritages successifs, entre les mains de Marie de Bourgogne, Philippe le Beau, Charles Quint, puis de Philippe II.
Celui-ci crée le 12 avril 1559 la Bibliothèque royale des Pays-Bas, ancêtre direct de KBR. Les troupes françaises qui s’emparent de Bruxelles en 1748 transfèrent près de la moitié de la collection à Paris.
En 1770, la plupart des volumes confisqués sont restitués à Bruxelles.
Suppression des couvents sous Joseph II
La suppression en 1773 de l’ordre des jésuites permet un accroissement notable des collections. Des dizaines de manuscrits rassemblés par la Compagnie de Jésus dans nos provinces entrent dans les collections de la bibliothèque. Quelques années plus tard, l’empereur Joseph II fait supprimer d’autres couvents d’ordres contemplatifs. Les manuscrits des abbayes et couvents brabançons (Gembloux, Roo, Val-Saint-Martin…) rejoignent également la collection de la bibliothèque.
Confiscation lors de la Révolution française
Néanmoins, la période de calme et d’expansion est de courte durée. En 1794, les commissaires de la République française s’emparent d’une grande partie des manuscrits « bourguignons » pour les transférer à Paris. Il faut attendre 1816 et le Congrès de Vienne pour que ces manuscrits confisqués par la France rentrent à Bruxelles. Toutefois, certains ouvrages demeurent toujours à Paris. D’autres – qui à l’origine ne faisaient pas partie de la Bibliothèque de Bourgogne – prennent par contre le chemin inverse…
Charles van Hulthem
Les années suivantes sont moins tourmentées. D’achats en donations, le Cabinet des Manuscrits voit s’accroître ses collections.
En 1837, le tout jeune État belge acquiert la bibliothèque du bibliophile gantois, Charles Van Hulthem, qui compte quelque 1.100 manuscrits dont certains sont essentiels à l’étude de la littérature médiévale néerlandaise.


Accroissement de la collection
De 1839 à 1953, le Cabinet des Manuscrits acquiert environ 11.000 volumes : des ouvrages médiévaux mais également des documents d’archives des XVIe, XVIIe et XVIIIe siècles ainsi que de nombreux textes et autographes d’écrivains et d’artistes belges.
Chaque année, de nouvelles acquisitions viennent enrichir la collection aussi bien dans les domaines littéraires qu’historique.
Séance de cinéma : VIVE LE DUC !
Salle Op-Weule – 91 rue Saint-Lambert à Woluwe-Saint-Lambert
Accès : Métro, tram 8 et bus 29, 42,45 (Roodebeek), bus 28 (Voot)
Jeudi 6 novembre à 15h

Entièrement tourné dans la commune de Woluwe-Saint-Lambert en l’été 1959 (qui a vraiment bien changé) et avec les habitants de la commune (idem), le film nous offre le plaisir de retrouver, bien en verve, quelques comédiens bruxellois de jadis, dont Charles Janssens et le populaire Victor "Bossemans" Guyau. Coproduction oblige, quelques comédiens français viennent rehausser la distribution: Francis Blanche (irascible bourru), Amédée (comique troupier) et Marie-José Nat (vraie bonne surprise en ingénue, à l'époque très ingénue, et totalement craquante).
Comédie bucolique à l'humour populaire et bon enfant qui était alors la marque de fabrique du cinéma de fiction bien de chez nous, Vive le Duc sorti au début de1960.
Int. : Francis Blanche, Marie José Nat, Charles Janssens, Victor Guyau.
Rendez-vous : Salle Op-Weule à 14h45.
Prix : 5€ et chacun honorera ses consommations lors d’un café ou… après la projection au bar de l’établissement.
Renseignements : André Everaerts 0471.54.26.31 ou aewoluwe@hotmail.com
Inscription en versant le montant de 5€ avant le 1er novembre
au compte BE66 2100 4328 0543 de Vivre Heureux asbl
avec le code : vld 1959
Repas d’automne à la Brasserie des Etangs
Vendredi 21 novembre à 12h.
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Une belle occasion de se retrouver une après-midi, de déjeuner dans l’agréable cadre des Etangs de Mellaerts
Prix : 73 € Date limite d’inscription : 25 octobre
Renseignements : G. VANANTWERPEN : giselevanantwerpen@gmail.com 0479.87.12.95
Adresse du jour : Brasserie des Etangs de Mellaerts, Bd. du Souverain 275 W.St. Pierre
Inscription en versant le montant de 73 € par personne avant le 25 octobre 2023 au compte BE66 2100 4328 0543 de Vivre Heureux asbl avec le code : rep 2111
Vivre heureux au théâtre
Dimanche 7 décembre 2025 à 15h

Nouveau spectacle de fin d’année: « Le Béret de la Tortue »
Une comédie décapante, croustillante, réjouissante !
Vacances entre amis, vacances pourries ! Trois couples d’amis louent ensemble une villa pour les vacances dans le sud de la France. Très vite, l’ambiance se rafraîchit. Chaque couple critique ses voisins dans l’intimité de sa chambre à coucher. Au dîner final sonne l’heure du règlement de comptes...
Venez savourer ce séjour estival et lever votre verre aux pires vacances que vous n’ayez jamais passées !
Une comédie sur la tragédie de la cohabitation.
Une histoire qui vous rappellera forcément un souvenir !
Un texte fin, drôle, cruel et tendre à la fois !
On rit, on rit… beaucoup !
Distribution : Pierre Pigeolet, Christel Pédrinelli, Michel Hinderyckx, Daniel Hanssens, Catherine Claeys, Joséphine de Renesse
Mise en scène : Daniel Hanssens
Rendez-vous : Centre culturel d’Auderghem, Boulevard du Souverain 183, 1160 Bruxelles. Vos places sont disponibles 20 min avant le spectacle dans le hall du théâtre.
Prix : 24 € Places habituelles vers les rangées « E, F & G ». Programme à disposition.
Renseignements : André Everaerts 0471.54.26.31 ou aewoluwe@hotmail.com
Inscription en versant le montant de 24 € par personne
avant le 1er novembre 2025 au compte BE66 2100 4328 0543
de Vivre Heureux asbl avec le code the 0712
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